Du directoire à la révolution de 1848, elle aura eu à ses pieds tout ce que le début du XIX° siècle compta d'écrivains, de philosophe, de savants. Le prince Auguste de Prusse, Ballanche, Lucien Bonaparte, J.-J. Ampère, Chateaubriand et tant d'autres, tous furent subjugués par son intelligence, son rayonnement, son charme, sa beauté... Elle à exercé un "magistère" incomparablement plus puissant que toutes les femmes qui, avant et après elle, tinrent salon.